Das Kalte Herz

Simu Ho / Lukas Hartmann / Christine Wyss

Das Kalte Herz

Lorenz Hasler
Stephan Grögler
Véronique Seymat
Maximilian Thomae
Christine Wyss
Davide Fior / Susanne Rydén / René Perler / Anett Rest / Anne Schmid, Rudolf Ruch / Singschule Köniz
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Das kalte Herz – Le Cœur froid: Opéra pour enfants, jeunes (chœur d’amateurs) et adultes (professionel) d’après le conte de fées de Wilhelm Hauff

 

Quelques remarques concernant le concept du livret: Ce n’est pas un anniversaire qui est responsable pour la choix de ce conte de Wilhelm Hauff, mais son actualité et surtout le souvenir de l’auteur Lukas Hartmann à sa lecture du récit étant enfant.

Dans ce conte de fées de Hauff les sujets suivants sont traités: l’exploitation de la nature, la rapacité, l’enrichissement rapide et facile, la réussite des gens sans scrupule. Jusqu’à nos jours la monnaie – enfin le capitalisme – n’a rien perdu de son énergie diabolique et séduisante. Les années passées ont donné la preuve la plus récente.

D’une part nous voyons les faibles des êtres humains, de l’autre part la Forêt-Noire qui symbolise la vie, la vigueur de la source naturelle, une source inépuisable. Mais la forêt signifie aussi les puissances sombres, menaçantes et non-explicables, enfin l’inconscient. Tous les deux personnages, le Petit-Homme en vitre et aussi Michel, le Hollandais, apparaissent dans la forêt profonde. Ils ont les traits des fantômes et l’un et le contre-pôle de l’autre. Chacun des deux personnages personnifie des valeurs ou des puissances, qui se comportent contradictoires comme le jour et la nuit. Ils luttent l’un contre l’autre. L’un, le Petit-Homme en vitre, correspond aux vigueurs bonnes ou bien divines, l’autre, Michel, le Hollandais, aux mals et aux puissances destructives.

Successful premiere; with how much enthusiasm and commitment this work is realized enchants just as much as the legendary plot of the fairy tale. The dynamic production relies on group choreographies and a clear body language. With wood shavings and hanging poles this forest is masterly evoked with little resources. The production inspires amazement and reflection and brings the fairy tale into the present without any contortion – a splendid achievement.
Der Bund (Moritz Ackermann)
Hope at the end of the line in the fairytale forest. The opera"The Cold Heart" is a mammoth project with around a hundred participants. The world premiere at the Reitschule was a success. Director Stephan Grögler fortunately didn't let himself be tempted to locate the current fairy tale in reality. Peter is also a charcoal burner in the Berneproduction and not a stockbroker. The forest remains forest. Grögler trusts in the power of the old legend and in the libretto by Lukas Hartmann.
Der Bund (Moritz Ackermann)
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